Jaboc
Voir aussi : Gué d'Adâm, Gué du Jaboc, Gué du Yabbok.
Un torrent affluent du Jourdain[1]
Descriptif
Les disciples, en compagnie de Jésus, ont quitté Ramoth pour se rendre à Gérasa. À mi chemin, ils approchent du mont Galaad et descendent dans une vallée. « Au fond il y a un nouveau torrent qui court en écumant vers l'ouest. Il arrive de l'est dans un parcours tourmenté, rageur à travers les roches et les cascades contrastant ainsi avec la paix lointaine de l'énorme plateau »[2]. La description ne laisse aucun doute : il s’agit du Yabboq, que Maria Valtorta ne nomme pas, ici. Mais plus loin, un disciple informe Jésus de la présence de bandes de voleurs, dans ce même secteur : « Ils se cachent dans les montagnes de Rabbath Ammon et de Galaad, le long de la vallée du Jaboc, et ils tombent sur les caravanes »[3].
Son nom
Jaboc, Jabbok, Yabboq, Nahr ez Zerqa. Le nom "Jaboc" (ou Yabboq), est généralement associé à la racine hébraïque signifiant "se déverser" ou "verser", ce qui pourrait faire référence au cours d'eau lui-même qui se déverse dans le Jourdain. Le nom arabe "Nahr ez-Zerqa" signifie "la rivière bleue", probablement en référence à la couleur de ses eaux.
Où en parle-t-on dans l'œuvre ?
EMV 287 EMV 466
En savoir plus sur ce lieu
Torrent long de 65 km et coulant depuis les collines situées à l'ouest d’Amman (Rabbath-Ammon), en direction de l'ouest, à travers le pays de Galaad. Il constituait la frontière entre le territoire de Reuben et Gad et celui d’Ammon. C'est à la confluence du Jaboc et du Jourdain qu'eut lieu le combat de Jacob et de l'ange que rapporte le livre de la Genèse 32,23-33 (voir le gué du Jaboc)
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- 32° 11’ 49’’ N / 35° 50’ 32’’ E /
- +776m.













