Renier, reniement
Ce n'est pas une faute d'ignorer, mais c'est une faute de renier.[1]
Dans "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
- Ce n'est pas une faute d'ignorer, mais c'est une faute de renier.[2]
- Qui m'aura renié devant les hommes sera renié comme fils devant les anges de Dieu.[3]
Dans les autres ouvrages de Maria Valtorta
Les Cahiers de 1943
- Dictée du 29 décembre : Malheur à ceux qui renient ce Nom et l’offensent en substituant à ce Nom saint le signe démoniaque de Satan, ou qui même seulement permettent à l’esprit affaibli de l’oublier, comme si une substance corrosive l’effaçait de leur moi qui n’a la vie que par ce Nom.