Dora

Dora.

Habitants ou natifs

Jacques le laboureur et sa femme venus prier au Temple pour que leur gendre Jacob ne répudie pas leur fille Marie.

Descriptif

Il n'y a pas de descriptif dans l'œuvre de Maria Valtorta. Les fouilles archéologiques ont révélé les vestiges d'une importante tour qui protégeait le port divisé en deux bassins. Vestige aussi d'un immense théâtre de 60 mètres de diamètre.

Faits marquants

Étape pour la troupe apostolique en route vers Césarée Maritime (Juin 28). La foi de Jacob et de sa femme inspire la parabole du juge inique^[1].

Son nom

Dora, Dor, Tan Turah (Habitation);

Aujourd'hui Nahsholim , vestiges archéologique à Tel Dor.

Où en parle-t-on dans l'œuvre ?

EMV 253 EMV 505

En savoir plus sur ce lieu

Ville côtière de la Méditerranée au sud du Carmel et à 10 km au nord de Césarée Maritime. Elle était appelée Dora à l'époque gréco-romaine.

Extrait du Dictionnaire géographique de l'Évangile selon Maria Valtorta, par Jean-François Lavère :

Venant de Sicaminon, et se rendant à Césarée maritime avec les apôtres, Jésus projette de faire une halte dans cette ville. « Nous arriverons à Dora, avant que le soleil ne soit brûlant et nous repartirons au crépuscule »^[2]. Mais, Maria Valtorta n’a pas vu la ville, comme elle le signale avec franchise : « l'arrêt à Dora, je ne l'ai pas vu. Peut-être cela a été une halte sans rien de notable à signaler »^[3].
Durant l’automne de la troisième année, un paysan se présente devant Jésus, et intercède pour sa fille en voie de répudiation : « Je suis un pauvre cultivateur de la plaine de Saron, vers Dora »^[4].
Connue sous le nom grec et romain de Dora, la cité de Dor est mentionnée dans la Bible^[5]. Ancienne cité royale des Cananéens, la ville était en plein déclin, à l'époque de Pline, et saint Jérôme signale qu'elle était déserte en son temps...