Jeanne de Cana
Grand-mère de nombreux petits orphelins, dont Rachel et Tobie. Veuve et démunie, elle doit assurer en plus la maladie de sa petite. Elle est secourue par Jésus, à l’instigation de Suzanne, et avec le concours financier de Jeanne de Chouza. Margziam (Martial, Jabé) intercède pour la guérison de Rachel et s'engage à un jêune.
Son nom
Johanna, féminin de YoHanan, "l’Éternel a fait grâce, a été favorable".
Où en parle-t-on dans l'œuvre ?
EMV 309 EMV 336