Aide, secours

    De Wiki Maria Valtorta

    Logo template other.png Voir aussi : Providence, Sauver.



    Le secours de Dieu le Père ne manque jamais à ses enfants, donc à celui qui le réclame par la prière avec humilité, confiance, insistance. L'homme est aussi appelé à secourir son prochain dans le besoin, selon ses possibilités.

    Dans "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"

    • Dieu nous donne son secours, heure après heure, si nous restons humbles et fidèles.[1]
    • Je me tiens penché sur vous et rien ne m'est plus douloureux que de ne pouvoir intervenir parce que vous refusez mon secours, en préférant agir par vous-mêmes ou, ce qui est pire, en demandant de l'aide au Mal.[2]
    • Je vous indique deux éléments capitaux pour avoir Dieu avec soi pour nous aider dans les justes entreprises. Le premier : la fidélité, le second : l’humilité.[3]
    • En celui qui te rend service, Dieu est présent et, par conséquent, accueille avec respect tout bienfait sans y prétendre, sans dire : "Je resterai à rien faire car il y a quelqu'un qui pense à moi".[4]
    • Pierre : Dans les choses de Dieu, je n'admets que l'aide de Dieu… - …Il est très voisin de la perfection son jugement que, dans les choses de Dieu, on ne doit recourir qu'à son aide surnaturelle, sans mendier une aide humaine intéressée ou utilitaire.[5]
    • Secours de Marie : Son Déchirement de l’enfantement spirituel : Elle dit : "Mais, crois-moi, ma fille, qu'il n'y a jamais eu et qu'il n'y aura jamais tourment d'enfantement semblable à mon enfantement de Martyre d'une Maternité spirituelle accomplie sur le plus dur des lits : celui de ma croix, au pied du gibet de mon Fils qui mourait.

      Quelle est la mère qui est contrainte à générer de telle façon, et à mêler le tourment de ses entrailles qui se déchiraient en entendant le râle de sa Créature agonisante au déchirement intérieur pour avoir à surmonter l'horreur de devoir dire: "Je vous aime. Venez à moi qui suis votre Mère" aux assassins de son Fils (...)."[6]
    • Toute souffrance s’apaise sur le sein de Marie : Élisabeth lui dit : "Laisse-moi mettre les mains sur ton sein". "Oh ! si dans votre souffrance vous me demandiez toujours cela !" (...) "Et toute douleur se calme et toute espérance fleurit et toute grâce coule pour qui vient à moi et pose sa tête sur mon sein."[7]        
    • Notre Mère du Ciel ne cesse de prier pour nous : "Je prie pour vous. Rappelez-le. La béatitude d'être au Ciel, vivant dans le rayonnement de Dieu, ne me fait pas oublier mes fils qui souffrent sur la terre. Et je prie. Le Ciel entier prie, car le Ciel aime. Le Ciel c'est la charité vivante. Et la Charité a pitié de vous.
      Mais, s'il n'y avait que moi, ce serait déjà une prière suffisante pour les besoins de qui espère en Dieu, puisque je ne cesse de prier pour vous tous : saints et dépravés, pour donner aux saints la joie, pour donner aux méchants le repentir qui sauve."
      "Venez, venez, ô fils de ma douleur. Je vous attends au pied de la Croix pour vous faire grâce."[8]      
    • Dans toutes les choses de la vie, le bien vient non pas de la richesse, de la puissance ou d'autres causes, mais du secours qui vient du Ciel. Et il vient parce qu'on demande son secours pour des choses bonnes, pour nos vies et nos lois, dit encore le Maccabée. Mais quand on recourt à Dieu pour des fins mauvaises ou impures, il est vain d'appeler son secours.[9]

    Dans les autres ouvrages de Maria Valtorta

    Cahiers

    • Catéchèse du 7 juin 1943 : Oui, aide-moi, mon bon Maître. Ne me laisse pas tomber. Toute la douleur que tu voudras, Seigneur, mais toujours près de toi. Je sais, je crois que c’est pour un bien que je souffre ce tourment moral; je sais, j’espère qu’il n’est pas sans quelque utilité; je sais que si je souffre paisiblement, sur ton cœur, la paix restera en moi et la hargne du démon ne pourra la troubler. Je te dis donc : me voici, par amour pour toi, prête à faire ta volonté...[10]

    Dans la Bible

    • Que votre conduite ne soit pas inspirée par l’amour de l’argent : contentez-vous de ce que vous avez, car Dieu lui-même a dit : Jamais je ne te lâcherai, jamais je ne t’abandonnerai. C’est pourquoi nous pouvons dire en toute assurance : Le Seigneur est mon secours, je n’ai rien à craindre ! Que pourrait me faire un homme ?[11]

    Notes et références