Ténèbres
Voir aussi : Enfer, enfers.
Dans de nombreux enseignements de l'œuvre de Maria Valtorta, l'image des ténèbres matérielles est utilisée pour représenter les ténèbres spirituelles qui recouvrent une âme qui s'est volontairement détournée de Dieu.
Dans "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
- Vous faites écran à la Lumière par votre haine, et pour cela on peut dire que la Lumière a été repoussée par les ténèbres et que le monde n'a pas voulu la connaître. (Jean 1,5) – À Bozra, à l’attention de pharisiens partis sur sa piste pour le piéger. Comparaison avec le peuple de l’Auranitide (Bachan) qui lui, accueille la Lumière. EMV 293
- Le choc de la réalité à l'heure des ténèbres sera d'une violence surhumaine dans les cœurs que l'amour, pas encore parfaitement réglé, rend aveugles. EMV 398
- Ne crains-tu pas les ténèbres de l'enfer, éternelles, horribles ? La privation continuelle de Dieu ? Les remords continuels ? La douleur de t'être tué toi-même, pour toujours, en ton esprit ? EMV 458
- Les Ténèbres ne veulent pas de la Lumière et la Lumière ne s'impose pas à celui qui la repousse. EMV 501
- Je suis la Lumière du monde. Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la Vie ! (Jean 08,12-19) EMV 506
- Tant que ce n'est pas l'heure des ténèbres, rien de ténébreux ne pourra arriver. Quand ensuite ce sera cette heure, aucun éloignement ni aucune force, même pas les armées de César, ne pourront me sauver des juifs. Car ce qui est écrit doit arriver et les forces du mal travaillent déjà en secret pour accomplir leur œuvre. EMV 547
Dans les autres ouvrages de Maria Valtorta
Les Cahiers de 1944
- Dictée et vision du 15 janvier : Le troisième tourment, ce sera l’obscurité matérielle et spirituelle. Se trouver pour toujours dans les ténèbres après avoir vu la lumière du paradis, être étreint par la Ténèbre après avoir vu la Lumière qui est Dieu ! Se débattre dans l’horreur noire où seul s’illumine, au réverbère de l’esprit brûlant, le nom du péché qui leur a valu d’être plongés dans une telle horreur !