Calice (coupe)

    De Wiki Maria Valtorta

    Les termes "calice" et "coupe" sont utilisés, dans l'Évangile et dans l'œuvre de Maria Valtorta, comme images représentant l'ensemble des souffrances que doit vivre Jésus-Christ pour accomplir la Rédemption.

    Dans "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"

    • Moi, je vous dis que vous ne savez pas ce que vous demandez ! Pouvez-vous peut-être boire le calice que Moi je boirai ? - "Nous le pouvons, Seigneur." (Matthieu 20,22 - Marc 10,39) EMV 577
    • Note de Jésus à Maria Valtorta : "Marque fortement le point : "... vous boirez certainement à mon calice". Dans les traductions on lit : "mon calice". J'ai dit : "à mon calice" et non pas "mon calice". Aucun homme n'aurait pu boire mon calice. Moi seul, le Rédempteur, j'ai dû boire mon calice tout entier. À mes disciples, à mes imitateurs et à ceux qui m'aiment, il est certainement permis de boire à ce calice où j'ai bu, une goutte, Une gorgée, ou les gorgées que la prédilection de Dieu leur permet de boire. Mais jamais personne ne boira le calice tout entier comme je l'ai bu. Il est donc juste de dire : "à mon calice" et non pas "mon calice". EMV 46

    Dans les autres ouvrages de Maria Valtorta

    Les Cahiers de 1943

    • Catéchèse du 1er juillet : Que croyez-vous ? Que mon calice n’ait été que celui de la douleur ? Non, créatures qui m’aimez. Le Christ - il vous le dit pour vous donner du courage - a subi la tentation avant vous.
      Pensez-vous qu’il n’y ait eu que celle dans le désert ? Non. Cette fois-là, Satan fut vaincu avec les grands moyens qui furent opposés à ses grandes tentatives. Mais je vous dis en vérité que moi, le Christ, je fus tenté d’autres fois. L’Évangile ne le dit pas. Mais comme écrit le bien-aimé :’S’il fallait raconter tous les miracles faits par Jésus, la Terre ne suffirait pas à contenir tous les livres qu’on écrirait’.