Passion (Rédemption)
Voir aussi : Croix, crucifier, crucifixion.
Ne doit pas être confondu avec Instincts, besoins physiologiques, passions.
La Passion du Christ c’est l’ensemble des souffrances du Christ depuis son arrestation au jardin des oliviers (Gethsémani). C’est le mystère de la Pâque du Christ allant vers la mort et offrant sa vie par amour pour le salut de l’humanité. C’est dans la Passion du Christ, indissociable de la résurrection que le chrétien, par le baptême, fait lui aussi le passage de la mort à la vie.[1]
Dans "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
- Prescience de Marie sur la Passion du Sauveur[2]
- La Passion de Joseph[3]
- Vous aussi vous avez à vivre votre passion. Vos fautes l'ont méritée[4]
- Non, mes fils, non. Il faut d'abord boire tout le calice que Moi j'ai bu. Tout : avec la charité donnée en échange de la haine, avec la chasteté qui s'oppose à la voix des sens, avec l' héroïsme dans les épreuves, avec l' holocauste de Soi-même pour l'amour de Dieu et des frères.[5]
- Allusion à la Passion du Sauveur et la trahison de Judas[6]
- Le Ciel est fermé et muet !... C'est donc cela l'horreur que j'aurai avec Moi jusqu'à la Mort ?[7]
- Première annonce de la Passion : Le Fils de l'homme sera livré aux mains des hommes. (Matthieu 16,21-28, Marc 8,31; 9,1, Luc 9,21-27) – en revenant de Césarée de Philippe (Panéade) à la hauteur du lac de Méron[8]
- 2ème annonce de la Passion : le Fils de l'homme va être accusé et puis remis aux hommes qui le tueront comme un malfaiteur. Mais Moi, je ressusciterai après trois jours et je triompherai. (Matthieu 17,22-23, Marc 9,30-32, Luc 9,43b-45) – Capharnaüm au début du 3ème pèlerinage pascal[9]
- Et ce Sang ne crie pas vengeance, mais demande la pitié pour son Peuple qui le tue, pitié pour nous ! Jérusalem !!! Convertis-toi ! Ce Sang ! Ce Sang ! Un fleuve ! Un fleuve qui lave le monde en guérissant tout mal, en effaçant toute faute... Mais pour nous, pour nous d'Israël, ce Sang c'est du feu, pour nous c'est le scalpel qui écrit sur les fils de Jacob le nom de déicide et la malédiction de Dieu. Jérusalem ! Aie pitié de toi-même et de nous !..."[10]
- Je pense quel mystère est caché en ayant vu les juifs être si féroces le Vendredi Saint. Quel mystère dans l'absence de ce pouvoir de domination chez le Christ ce jour-là. C'était vraiment l'heure des Ténèbres, l'heure de Satan, et eux seuls régnaient... La Divinité, la Paternité de Dieu avait abandonné son Christ, et Lui n'était plus rien que la Victime...[11]
- Les signes qui accompagneront la Passion et leur sens[12]
- 3ème annonce de la Passion : "Le Fils de l'homme, votre Maître Jésus, va être livré aux mains des princes des prêtres, des scribes et des anciens qui le condamneront à mort et le livreront aux gentils pour qu'il soit livré au mépris". En route vers Jérusalem, entre Doco et Jéricho (Matthieu 20,17-28, Marc 10,41-45, Luc 22,24-27)[13]