Voix de Dieu
Une voix, plus forte que le tonnerre, immatérielle en ce sens qu'elle ne ressemble à aucune voix d'homme, mais très sensible à toutes les oreilles, emplit le ciel serein de la magnifique journée d'avril et elle vibre, plus puissante que l'accord d'un orgue géant, d'une très belle tonalité et elle proclame : "Et Moi, Je l'ai glorifié et Je le glorifierai encore."[1]
Dans "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
- Reconnaître la Voix de Dieu, la voix du monde, la voix de Satan[2]
- La Voix de Dieu au Baptême de Jésus, raconté par André : après le super-extasiant tonnerre de Dieu, après l'inconcevable splendeur de la Lumière en forme de colombe de paix, eut dit : "Voici l'Agneau de Dieu"…[3]
- La voix de Dieu sur le Thabor : Une Voix puissante et harmonieuse vibre et remplit d'elle-même tout l'espace.[4]
- Les brebis et Moi, nous nous aimons. Elles m'écoutent, elles reconnaissent ma voix. Vous, vous ne comprenez pas ce qu'est en vérité connaître ma voix. C'est ne pas avoir de doute sur son origine et la discerner entre mille autres voix de faux prophètes, comme une véritable voix venue du Ciel.[5]
Dans d'autres sources
- Bat Kol (fille de voix) désigne la voix divine telle qu'elle se fit entendre du peuple sur le Sinaï. Cette voix a retenti par trois fois dans l'Évangile : lors du Baptême de Jésus[6], de la La Transfiguration du Seigneur[7] et de la Glorification précédant la Passion[8][9].