Élise de Jérusalem
Judéenne d'Ophel, le quartier populaire de Jérusalem. Elle a la soixantaine. Sa fille unique, Annalia, la première des vierges consacrées, phtisique, est condamnée à court terme. Elle n'a que quinze ans. Jean, l'apprenant, intercède auprès de Jésus qui la guérira[1].
Miraculée, sa fille renoncera à se marier avec son fiancé Samuel. Élise en souffre et accepte mal une deuxième nouvelle : le souhait d'Annalia de devenir la première vierge consacrée à la suite de Jésus[2].
L'épreuve ne s'arrête pas là : sa fille meurt, selon son désir, après avoir vu l'entrée triomphale de Jésus à Jérusalem et avant donc la terrible Passion[3].
Jésus Ressuscité viendra consoler la mère éprouvée en l'assurant du bonheur de sa fille[4].
Son nom
Élise, comme Élisée (Èlisha), veut dire "Dieu est Salut". Référence historique : le grand prophète Élisée.
Où en parle-t-on dans l'œuvre ?
EMV 85 EMV 632