du latin reliquiae : restes Ce qui reste d’une personne honorée comme un saint (éléments corporels, objets lui ayant appartenu.) Le culte rendu aux reliques, qui s’adresse aux saints est un culte de respect et non d’adoration, réservé à Dieu seul. Ce culte remonte aux martyrs des premiers siècles, sur les tombeaux desquels on venait prier et célébrer la messe.[1]
Dans "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
Un homme guéri demande à repartir avec des "reliques" de Jésus[2]
Le centurion Longin apporte la sainte lance à Marie[5]
Élie, l'un des bergers de Bethléem de Judée, retourne à la crèche pour crier sa joie de savoir le Christ ressuscité "Maintenant j’y suis allé pour dire à cet endroit : “Je suis heureux” et pour en prendre ce que je puis. Nous en avons décidé ainsi. Nous voulons prêcher sa Foi, mais nous en recevrons la force d’un morceau de ce mur, d’une poignée de cette terre, d’une écharde de ces poteaux. Nous ne sommes pas assez saints pour oser prendre la terre du Calvaire..."[6]
Les linges qui entouraient le corps de Jésus ont été enlevés[7]
Lazare et Nicodème rapportent les linceuls : le premier (le suaire du visage ?) est conservé dans une statue de bois (cèdre) représentant Jésus. C'est donc le premier crucifix. L'autre (le linceul de Turin ?) est donné à Marie. Les vêtements de Jésus n'ont pas été retrouvés.[8]
Catéchèse du 22 juillet : Pouvez-vous dire que je n’ai pas aimé cette terre (l'Italie) où j’ai apporté les reliques de ma vie et de ma mort : la maison de Nazareth où je fus conçu dans une étreinte de lumineuse ardeur entre le divin Esprit et la Vierge, et le Suaire sur lequel la sueur de ma mort a imprimé la marque de ma douleur, subie pour l’humanité ? (Selon Maria Valtorta, ces deux reliques sont donc authentifiées).