Faiblesse(s), Impuissance

    De Wiki Maria Valtorta

    [...] "il m’a dit: 'Ma grâce te suffit, car c’est dans la faiblesse que ma puissance se montre tout entière.' Je préfère donc bien volontiers me glorifier de mes faiblesses, afin que la puissance du Christ habite en moi. C’est pourquoi je me plais dans les faiblesses, dans les opprobres, dans les nécessités, dans les persécutions, dans les détresses, pour le Christ; car lorsque je suis faible, c’est alors que je suis fort."[1]

    Dans "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"

    Manquements

    • Écoutez l’autre promesse et exultez : “Et Je fais miséricorde jusqu’à la millième génération à ceux qui m’aiment et observent mes commandements". Jusqu’à la millième génération des bons et jusqu’à la millième faiblesse des pauvres fils de l’homme, qui tombent non par malice mais par étourderie et par les pièges du démon.[2]

    Fragilité, Faiblesse

    • (Jésus à Marie Madeleine) : Tu es une âme forte, et que je veux te rendre très forte. J'excuse les faiblesses chez les autres, en toi, je ne les supporte pas.[3]
    • J'ai aimé et j'aime les petitesses et les faiblesses pourvu que se trouve en elles la volonté de m'aimer et de me suivre, et de ces "riens " je fais mes privilégiés, mes amis, mes ministres. Je m'en sers toujours, et c'est un miracle continuel que j'opère, pour amener les autres à croire en Moi, à ne pas tuer les possibilités de miracle.[4]
    • Le repentir est une forme d'amour. Celui qui se repent dit à Dieu par son repentir : "Je ne puis rester sous la menace de ton courroux, car je t'aime et je veux être aimé".[5]
    • Il n'est pas de péché que Dieu ne pardonne si le pécheur est réellement repenti.[6]
    • Même le chagrin pour une erreur commise, qui vous afflige parce que par cette erreur vous avez déplu à Dieu, doit être paisible, réconforté par l'humilité et la confiance. L'accablement, la rancœur envers soi-même est toujours l'indice de l'orgueil, et ainsi même de la défiance.

      Si quelqu'un est humble, il sait qu'il est un pauvre homme sujet aux misères de la chair qui parfois triomphe. Si quelqu'un est humble, il a confiance non pas tant en lui-même qu'en Dieu et il reste calme, même dans les défaites, en disant : "Pardonne-moi, Père. Je sais que Tu connais ma faiblesse qui parfois l'emporte. Je crois que Tu as pitié de moi. J'ai la ferme confiance que Tu m'aideras à l'avenir encore plus qu'auparavant, bien que je Te donne si peu de satisfaction".
      Et ne soyez ni indifférents ni avares des biens de Dieu. Donnez de ce que vous avez en fait de sagesse et de vertu. Soyez actifs en matière spirituelle comme les hommes le sont pour les choses de la chair.[7]   
    • Je vous dis même que vous ne devez pas et ne devrez pas vous scandaliser de votre faiblesse.[8]

    Incapacité

    • A sa tante Marie d'Alphée, Jésus dit : À présent, le cœur te fait trop mal et tu ne peux comprendre la justice de mon impuissance.[9]
    • Reconnaître votre rien, c'est vous disposer à l' enseignement de l'Esprit Paraclet...[10]

    Dans les autres ouvrages de Maria Valtorta

    Les Cahiers de 1943

    • Catéchèse du 6 novembre : Jésus dit : "Je sais que vous êtes faibles et que, tout autour de vous, il y a des pièges. Je le sais et j’en tiens compte en vous jugeant. Je ne serais plus un Dieu juste si je ne tenais pas compte de votre faiblesse et des œuvres du Malin.(...)
      Combien sera grande ma miséricorde envers ceux qui tombent tout en voulant le contraire et qui se repentent de leur chute ! Une, deux, dix, cent chutes sans malice ne blessent pas l’Amour à mort. Ce sont des égratignures réciproques que vos larmes et mon amour guérissent. Vous me dites : ‘Pitié, Seigneur’ et je vous dis : ‘Viens au Père, mon pauvre enfant’ ".[11]
    • Catéchèse du 18 juin : Mais en plus d’être pauvres, vous êtes malades, faibles, non seulement de cette faiblesse que cause le manque de nourriture et qui cesse quand on se nourrit, mais faibles à cause des maladies qui vous épuisent. Que de maladies a votre âme ! Que de microbes vous inocule le Malin pour provoquer ces maladies en vous ! Celui qui est faible et malade a besoin, non seulement de pain, mais aussi de vin.

      Dans mon Eucharistie, je vous ai laissé les deux signes de ce dont a besoin votre nature de pauvres et votre faiblesse de malades : le pain qui nourrit, le vin qui fortifie.[12]

    Dans les textes fondamentaux chrétiens

    Dans la Bible

    • [...] "il m’a dit: 'Ma grâce te suffit, car c’est dans la faiblesse que ma puissance se montre tout entière.' Je préfère donc bien volontiers me glorifier de mes faiblesses, afin que la puissance du Christ habite en moi. C’est pourquoi je me plais dans les faiblesses, dans les opprobres, dans les nécessités, dans les persécutions, dans les détresses, pour le Christ; car lorsque je suis faible, c’est alors que je suis fort."[13]

    Notes et références