Pleurs, pleurer

    De Wiki Maria Valtorta

    Heureux les affligés, car ils seront consolés.[1]

    Les 12 œuvres de miséricorde du corps et de l’esprit : Être miséricordieux envers ceux qui pleurent.[2]

    Dans "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"

    • Heureux les affligés, car ils seront consolés.[3]
    • Les 12 œuvres de miséricorde du corps et de l’esprit : Être miséricordieux envers ceux qui pleurent.[4]
    • Jésus parle de la Belle de Chorazein, ancienne prostituée devenue lépreuse, qu'il a guérie : "Il y avait en ce cœur une humilité vraie, une vraie sincérité, une douleur parfaite. J'ai lu en ce cœur. Son corps était encore lépreux, mais son cœur était déjà guéri par le baume des années de larmes, de repentir, d'expiation. (...) Elle est sortie du lac pure aussi dans sa chair, mais encore plus pure en son cœur."[5]
    • J'ai pleuré devant la tombe de Lazare et on a donné à ces pleurs tant de noms […] ont affleuré à cette heure, plus vives que jamais, trois idées qui, comme trois clous, m'avaient toujours enfoncé leur pointe dans le cœur […] La constatation de la ruine que Satan avait apportée à l'homme en l'amenant au Mal […] La persuasion que même ce miracle, n'aurait pas convaincu le monde judaïque de la Vérité que je lui avais apportée, et qu'aucun miracle n'aurait fait du monde à venir un converti au Christ […] La vision mentale de ma mort prochaine.[6]
    • Dans la parabole de la brebis perdue, que Marie Madeleine écoute, cachée : "Oh ! pauvre petite âme illusionnée ! Mais dis-moi : si je te pardonne, tu m'aimeras encore ? Mais dis-moi : si je te tends les bras, tu t'y jetteras ? Mais dis-moi : as-tu soif d'un amour bon ? Et alors : viens et reviens à la vie. Reviens dans les pâturages saints. Tu pleures. Tes larmes mêlées aux miennes lavent les traces de ton péché, et Moi, pour te nourrir, puisque tu es épuisée par le mal qui t'a brûlée, je m'ouvre la poitrine, je m'ouvre les veines et je te dis : "Nourris-toi, mais vis !"[7]
    • Repentir, patience, constance, héroïsme et puis, ô pécheurs, je vous promets que vous serez vos propres libérateurs. En vérité je vous dis qu'il n'est pas de baptême qui vaille, ni de rite qui serve, s'il n'y a pas le repentir et la volonté de renoncer au péché. En vérité je vous le dis qu'il n'y a pas pécheur si grand qu'il ne puisse faire renaître par ses pleurs de repentir les vertus que le péché a arrachées de son cœur.[8]

    Dans les autres ouvrages de Maria Valtorta

    Dans les Cahiers

    • Catéchèse du 1 août 1943 : Votre orgueil empêche que votre cœur s’effrite dans la douleur d’avoir offensé Dieu et qu’en soit arrachée, dans la douleur, l’eau des pleurs qui purifient.[9]
    • Catéchèse des 2 et 3 octobre 1943 : "Je ne manque jamais à mes promesses. Je suis avec toi et je ne te dis même pas : ‘Ne pleure pas’, mais au contraire, je te dis : ‘Pleure dans mes bras’. Il y a des douleurs qui exigent des larmes et je n’empêche pas ce qui est juste. Jamais. Pleure et écoute. Tes larmes s’assécheront à la chaleur de mes paroles."[10]

    Notes et références