Humilité, humble
L’humilité est le « terrain » sur lequel les autres vertus prospèrent. L’humilité est une attitude de vérité à l’égard de Dieu, des autres et de soi-même, elle s’oppose à l’orgueil, à la suffisance, à l’arrogance. En nous appuyant sur la grâce de Dieu[1] l’humilité nous conduit à l’amour et permet de conjuguer tout ensemble l’amour de Dieu, l’amour du prochain et l’amour de soi-même. L’évangile nous la présente comme la vertu fondamentale (Mt 11, 25 & Mt 18, 3).[2]
Dans "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
- Savoir reconnaître qu'on a manqué, même par une simple pensée [...] Et l'humilité encore plus difficile : celle qui sait tenir cachées les merveilles de Dieu en nous[3]
- Humilité et orgueil[4]
- Dans une belle réussite, ne vous glorifiez pas comme si le mérite n'en revenait qu'à vous.[5]
- Soyez humbles, doux, patients. C'est ainsi que l'on conquiert le monde, non par la violence et la force.[6]
- Deux grandes vertus qui conduisent l’âme à la charité : Humilité et silence[7]
- S’effacer pour laisser faire Dieu[8]
- Reste dans l'humilité, mais sans t'avilir. S'avilir, c'est encore de l'orgueil.[9]
- L'homme oublie que la vraie valeur se cache sous des apparences modestes alors que la nullité se déguise en êtres puissants pour s'imposer à la foule.[10]
- Voyez donc combien l'humilité est nécessaire pour avoir une foi prompte et combien on est récompensé de savoir croire, même contre les apparences contraires.[11]
- Le Seigneur a permis que tu sois soumis à ces besoins de la chair pour te rendre humble, toujours plus humble, et toujours plus rempli de compassion pour tes semblables[12]
Dans d'autres sources
- L’humilité est le « terrain » sur lequel les autres vertus prospèrent. L’humilité est une attitude de vérité à l’égard de Dieu, des autres et de soi-même, elle s’oppose à l’orgueil, à la suffisance, à l’arrogance. En nous appuyant sur la grâce de Dieu[13] l’humilité nous conduit à l’amour et permet de conjuguer tout ensemble l’amour de Dieu, l’amour du prochain et l’amour de soi-même. L’évangile nous la présente comme la vertu fondamentale (Mt 11, 25 & Mt 18, 3).[14]