Persévérance, Patience
Améliorez-vous d'heure en heure, avec patience, avec fermeté, héroïquement. Et, qui vous dit que devenir bon ne soit pas pénible ? Je vous dis même : c'est le plus dur travail. Mais le Ciel est la récompense et il vaut la peine de s'épuiser dans cet effort.[1]
Dans "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
- Nombreux sont mes disciples et ils le seront de plus en plus. Mais seulement le tiers de la moitié saura l'être jusqu'à la fin. Persévérer. C'est le grand mot. Pour toutes les choses bonnes.[2] (Jésus)
- Repentir, patience, constance, héroïsme et puis, ô pécheurs, je vous promets que vous serez vos propres libérateurs. En vérité je vous dis qu'il n'est pas de baptême qui vaille, ni de rite qui serve, s'il n'y a pas le repentir et la volonté de renoncer au péché. En vérité je vous le dis qu'il n'y a pas pécheur si grand qu'il ne puisse faire renaître par ses pleurs de repentir les vertus que le péché a arrachées de son cœur.[3]
- Soyez humbles. Vous ne pouvez pas reprocher à votre Maître de ne pas l'être. Je vous donne l'exemple. Agissez comme j'agis. Soyez humbles, doux, patients. C'est ainsi que l'on conquiert le monde, non par la violence et la force.[4]
- Améliorez-vous d'heure en heure, avec patience, avec fermeté, héroïquement. Et, qui vous dit que devenir bon ne soit pas pénible ? Je vous dis même : c'est le plus dur travail. Mais le Ciel est la récompense et il vaut la peine de s'épuiser dans cet effort.[5]
- Ne sais-tu pas que toute victoire est certaine lorsqu'on la conquiert par un travail constant patient et prudent ?[6]
- Soyez persévérants. Je ne vous demande que cela. Souvenez-vous que Dieu ne peut céder aux sortilèges d'un de mes ennemis.[7]
Dans les autres ouvrages de Maria Valtorta
Les Cahiers de 1944
- Catéchèse du 2 janvier : La charité demande de supporter même ceux qui nous dérangent, et tu ne dois pas t’y dérober, ni t’en agacer. Regarde ton Maître. Je te donne une grande leçon de patience. […] Tu vois avec quelle tranquillité j’attends et avec quelle bienveillance je me remets à te parler le moment venu. Apprends donc à agir de même, sans craindre de rien perdre, sans t’irriter, sans te troubler d’aucune manière.[8]