Travail, labeur, fatigue
Depuis la Faute originelle, la fatigue et le travail sont entrés dans le monde avec le péché et la mort. Dans l'œuvre de Maria Valtorta, Jésus enseigne à sanctifer le travail, transformant celui-ci en moyen essentiel de salut et de sanctification de l'âme.
Dans "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
- L’amour du travail[1]
- "Garçon, sache que lorsqu'on est fatigué par un honnête travail, les femmes n'attirent plus. On aime seulement le lit honnête de son épouse." dit Pierre à Judas.[2]
- L’honnêteté du travail fait partie de l’amour du prochain.[3]
- Le travail, quel qu’il soit, n'est jamais humiliant[4]
- Que votre travail soit constant, confiant, paisible, sans brusques départs et brusques arrêts.[5]
- Mais s'il n'y a pas de fatigue, il n'y a pas de mérite, et il n'y a pas beaucoup de profit, parce que l'on fait peu de conquêtes et que l'on se borne à ceux qui sont déjà dans la justice.[6]
- Travailler toujours pour la vertu, c'est permis, c'est même un devoir. Travailler sans arrêt pour le gain, non. Ne peuvent le faire que ceux qui ne savent pas qu'il y a un Dieu qu'il faut honorer en son jour. Travailler en silence, c'est un mérite que tout le monde devrait apprendre des abeilles, car c'est dans le silence que se font saintement les choses saintes.[7]