L’homme moralement bon … l’homme moralement sain … vit naturellement la loi du Décalogue.[1]
L'âme : la vigne, a pourtant une voix et elle la fait entendre au libre arbitre, une voix surnaturelle nourrie des voix surnaturelles que Dieu ne refuse jamais aux âmes : celle du Gardien, celle des esprits envoyés par Dieu, celle de la Sagesse, celle des souvenirs surnaturels dont toute âme se rappelle même sans que l'homme en ait exactement conscience.[2]
L'homme ne se relève pas du péché parce qu'il se refuse à s'examiner, et même si sa conscience, par un mouvement imprévu, se dresse en lui et crie la vérité qu'il n'a pas voulu méditer, l'homme étouffe ce cri.[3]
Dans les autres ouvrages de Maria Valtorta
Leçons sur l'Epître de Saint Paul aux Romains
Leçon n° 29: La voix de la conscience pourrait être appelée "voix de Dieu lui-même qui parle à l'intérieur de l'homme", - c'est une autre forme d'aide, non seulement pour encourager la volonté à faire de bonnes actions ou à s'abstenir d'en faire de mauvaises, mais aussi comme source de repentir qui pousse l'homme à réparer le mal commis, de façon à ce qu'il puisse retrouver la Grâce de Dieu, perdue en péchant.
Dans les textes fondamentaux chrétiens
Dans la Bible
Les règles matérielles ne justifient plus. Le sang du Christ purifie notre conscience[4]